Dans ce château chargé d’histoire, celui d’Isidore de Montlord qui, en 1818, y composait ses romances, Jean-Baptiste Couturier écrit la suite logique : une gastronomie actuelle, précise, généreuse, qui fait vibrer les papilles et rester en mémoire. Bienvenue au 1818.

Dans ce château chargé d’histoire, celui d’Isidore de Montlord qui, en 1818, y composait ses romances, Jean-Baptiste Couturier écrit la suite logique : une gastronomie actuelle, précise, généreuse, qui fait vibrer les papilles et rester en mémoire. Bienvenue au 1818.

LE 1818, LA NOUVELLE SIGNATURE CULINAIRE DU CHÂTEAU DE PONDRES

En hiver, installé dans l’atmosphère feutrée du salon de musique, laissez-vous surprendre par notre nouvelle signature culinaire. À la belle saison, l’actuel jardin aromatique se transforme en terrasse du restaurant gastronomique. L’un des plus beaux espaces du Parc, offrant une vue exceptionnelle sur le Château, les Jardins Français, le vivier et la piscine.

LE 1818, LA NOUVELLE SIGNATURE CULINAIRE DU CHÂTEAU DE PONDRES

En hiver, installé dans l’atmosphère feutrée du salon de musique, laissez-vous surprendre par notre nouvelle signature culinaire. À la belle saison, l’actuel jardin aromatique se transforme en terrasse du restaurant gastronomique. L’un des plus beaux espaces du Parc, offrant une vue exceptionnelle sur le Château, les Jardins Français, le vivier et la piscine.

JEAN-BAPTISTE COUTURIER,
CHEF DU RESTAURANT

Depuis vingt-cinq ans, Jean-Baptiste Couturier trace un chemin exigeant entre rigueur classique et liberté créative, toujours guidé par le goût juste et la vérité du produit.

Formé au cœur de la Drôme et de l’Ardèche, où il termine deuxième meilleur apprenti régional, il pose très tôt ses couteaux en des maisons qui comptent : Le Belvédère en Corse, Le Mas Candille à Mougins, le Château de Varetz, puis des palaces alpins et méditerranéens où il officie comme sous-chef – Courchevel au Pralong, La Coquillade en Luberon, à nouveau Le Belvédère.

C’est pourtant auprès du Meilleur Ouvrier de France Christophe Pacheco, à l’Hôtel Au Cœur du Village à La Clusaz, qu’il vit la révélation : une cuisine d’auteur qui respecte le produit jusqu’à l’obsession et place l’humain au centre de la brigade.

Aujourd’hui, au 1818, restaurant gastronomique du Château de Pondres, Jean-Baptiste Couturier signe une cuisine moderne et affirmée, ancrée dans le Sud et ouverte sur la Méditerranée.

Les classiques sont revisités sans jamais être trahis : bouillabaisse déconstruite qui garde l’âme de la rade des côtes, pigeon en deux services où la cuisson sous-vide exalte la chair avant que la peau ne craque sous la salamandre, une sphérification d’olive de Nyons qui éclate comme un souvenir d’enfance.
Le terroir provençal et corse dicte la partition : poissons de la criée du Grau-du-Roi débarqués le matin, volaille de Colognac élevée en liberté, foie gras maison signé Gubernat à deux pas du château. Les fournisseurs sont choisis pour leur engagement. L’écologie n’est pas un slogan : elle est dans l’assiette.

Ici, le passé nourrit l’assiette, le présent l’honore, il écoute et dessine l'avenir.

JEAN-BAPTISTE COUTURIER,
CHEF DU RESTAURANT

Depuis vingt-cinq ans, Jean-Baptiste Couturier trace un chemin exigeant entre rigueur classique et liberté créative, toujours guidé par le goût juste et la vérité du produit.

Formé au cœur de la Drôme et de l’Ardèche, où il termine deuxième meilleur apprenti régional, il pose très tôt ses couteaux en des maisons qui comptent : Le Belvédère en Corse, Le Mas Candille à Mougins, le Château de Varetz, puis des palaces alpins et méditerranéens où il officie comme sous-chef – Courchevel au Pralong, La Coquillade en Luberon, à nouveau Le Belvédère.

C’est pourtant auprès du Meilleur Ouvrier de France Christophe Pacheco, à l’Hôtel Au Cœur du Village à La Clusaz, qu’il vit la révélation : une cuisine d’auteur qui respecte le produit jusqu’à l’obsession et place l’humain au centre de la brigade.

Aujourd’hui, au 1818, restaurant gastronomique du Château de Pondres, Jean-Baptiste Couturier signe une cuisine moderne et affirmée, ancrée dans le Sud et ouverte sur la Méditerranée.

Les classiques sont revisités sans jamais être trahis : bouillabaisse déconstruite qui garde l’âme de la rade des côtes, pigeon en deux services où la cuisson sous-vide exalte la chair avant que la peau ne craque sous la salamandre, une sphérification d’olive de Nyons qui éclate comme un souvenir d’enfance.
Le terroir provençal et corse dicte la partition : poissons de la criée du Grau-du-Roi débarqués le matin, volaille de Colognac élevée en liberté, foie gras maison signé Gubernat à deux pas du château. Les fournisseurs sont choisis pour leur engagement. L’écologie n’est pas un slogan : elle est dans l’assiette.

Ici, le passé nourrit l’assiette, le présent l’honore, il écoute et dessine l'avenir.

HORAIRES D'OUVERTURE

Du mercredi au dimanche soir : 19h – 21h15
Le samedi et dimanche midi : 12h – 13h30